mes bonsaïs à la Réunion

Enfin en pot. Cet arbre m'avait donné tellement de mal au prélèvement,
qu'il est resté très longtemps dans son bac de culture sans vraiment de
soin si ce n'est qu'une taille par an. Du coup, il a eu du temps pour faire
beaucoup de racines.

Mise en pot d'un des rares genevrier de mon jardin. Pas vraiment adapté
pour mon climat , il pousse vraiment lentement. Celui là est en culture
depuis bientôt cinq ans .

Une petite évolution du filao depuis sa mise en pot.

Voilà , il fini par arriver dans le pot qui l'attend depuis un moment déjà.
Il a une belle mote de petites racines , ça laisse donc bon espoir pour la
reprise .

Quelques clichés des bonsaïs du jardin botanique de Singapour.

Une préparation avant l'hiver : fertilisation et surfaçage.

Là je vise un peu plus haut... J'ai ce grand cerisier depuis un moment déjà
et l'objectif est loin d'être atteint. Mon idée première était de laisser
pousser et de trancher le tronc pour attendre les bourgeons en arrière.
Mais au fil des lectures, l'autogreffe si elle fonctionne, offre une
opportunité qui dépend moins du facteur chance. Alors pourquoi pas essayer
?
J'ai la chance d'avoir des petites branches assez vigoureuses à la base,
j'ai donc persé le tronc et fait traverser le tout. Il faut à présent
attendre que le tout reparte, gonfle et surtout fusionne pour le départ
d'un nouvel arbre.

Temps de préparation sur les Filaos. Ils ont bien poussé dans la saison et
une petite coupe permettra de densifier pour les prochains mois.

Ça y est , la floraison commence pour les bougainvilliers. Je suis
content, car celui ci avait une triste mine en fin d'année, mais après un
rempotage sur un pot plus adapté, il va beaucoup mieux. J'ai laissé tirer
longtemps avant de tailler, c'est plutôt une bonne chose donc, s'il me
gratifie quand même de quelques fleurs.

Cela faut un moment que j'ai lancé cette expérimentation. Trois boutures
des plus basiques que j'ai plaquées sur une roche et que j'ai laissées
pousser. Avec le recul, j'aurais dû placer un bout de plastique pour que
les racines collent parfaitement à la roche mais tant pis.
Une fois que tout a poussé, j'ai tressé les tiges pour former un petit
tronc. Le haut a été ensuite travaillé comme un bonsaï normal.
Aujourd'hui il rejoint son pot pour la suite.